Amy Knight

Amy Knight
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (78 ans)
Nationalité
américaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
HistorienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
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(en) amyknight.orgVoir et modifier les données sur Wikidata

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Amy W. Knight (née le ) est une historienne américaine de l'Union soviétique et de la Russie[1]. Elle a été décrite par le New York Times comme « la plus grande spécialiste de l'Occident » du KGB[2].

Vie et carrière

Amy Knight est née à Chicago en 1946. Elle a obtenu un baccalauréat ès arts (BA) à l'université du Michigan. Elle a ensuite obtenu un doctorat en philosophie (PhD) en politique russe à la London School of Economics and Political Science (LSE) en 1977[3]. Elle a enseigné à la LSE, à la Paul H. Nitze School of Advanced International Studies de l'université Johns-Hopkins, à l'université George-Washington et à l'Université Carleton[2]. Elle a également travaillé pendant dix-huit ans à la Bibliothèque du Congrès en tant que spécialiste des affaires russes et soviétiques[4]. Knight écrit également pour The New York Review of Books, The Times Literary Supplement, The Globe and Mail[1] et The Daily Beast[5].

En 1993-1994, elle est boursière au Woodrow Wilson International Center for Scholars.

Voir aussi

Bibliographie

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  • Knight, Amy W., The KGB : police and politics in the Soviet Union, Boston, Unwin Hyman, (lire en ligne Inscription nécessaire)
  • Knight, Amy, « The KGB and Soviet Reform », Problems of Communism, vol. 37, no 5,‎ , p. 61–70
  • Knight, Amy, « Russian entrepreneurial spirit steals into secret spy archives », sur The New York Times,
  • Amy Knight, Beria : Stalin's First Lieutenant, Princeton University Press, , 312 p. (ISBN 978-0-691-01093-9, lire en ligne)[6]
  • Amy Knight, Spies without Cloaks : The KGB's Successors, Princeton University Press, , 332 p. (ISBN 978-0-691-01718-1)[7]
  • Amy Knight, Who Killed Kirov? : The Kremlin's Greatest Mystery, Hill and Wang, , 331 p. (ISBN 978-0-8090-9703-6)[8]
  • Amy Knight, How the Cold War Began : The Igor Gouzenko Affair and the Hunt for Soviet Spies, Carroll & Graf, (ISBN 978-0-7867-1938-9)[1]
  • Knight, Amy (2017). Orders to Kill: The Putin Regime and Political Murder. St. Martin's Press (ISBN 978-1-250-11934-6)
  • Knight, Amy, « The Magnitsky affair », The New York Review of Books, vol. 65, no 3,‎ , p. 25–27

Références

  1. a b et c Clibbon, « Why is Russia still planting 'sleeper' agents abroad? », CBC News, (consulté le )
  2. a et b John Lloyd, « The Logic of Vladimir Putin », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. J. Sheppard, « Amy Knight on Putin, Russia's democratic future », The Globe and Mail,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. James Carney, « Soviet Union Mikhail Gorbachev's New Best Friends », Time,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « Amy Knight », The Daily Beast (consulté le )
  6. Fred Kaplan, « Mass grave found near Moscow Zoo », Pittsburgh Post-Gazette,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Joseph Finder, « By Any Other Name », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. Sheila Fitzpatrick, « Stalin. In the Hall. With the Revolver. », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

  • (en) Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
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