Gustave Rodrigues
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Gustave Rodrigues
Président Société des agrégés | |
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Pierre Couissin (d) |
Naissance | ![]() 12e arrondissement de Paris |
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Décès | ![]() Biarritz |
Nationalité | française ![]() |
Activité | Philosophe ![]() |
Distinction |
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Gustave Désiré Rodrigues, né le à Paris et mort le à Biarritz[1], était un philosophe français.
Biographie
D'un père travaillant dans la finance, il est reçu second à l'agrégation de philosophie en 1894, puis obtient son doctorat.
Il devient professeur au lycée Condorcet, puis au lycée Janson-de-Sailly, à Paris.
Il eut entre autres pour élève Simone de Beauvoir, Maurice Merleau-Ponty et Claude Lévi-Strauss.
Il préside la Société des agrégés de 1931 à 1934[2]. Il se suicide en 1940 lors de l'entrée des Allemands à Paris[3].
Œuvre
- L’Idée de relation, essai de critique positive, 1903
- L’Existence du monde extérieur d’après Descartes
- Le Problème de l’action : la pratique morale, 1909
- Le Peuple de l’action, essai sur l’idéalisme américain, 1917
- Pourquoi les Américains sont venus en France, 1918
- La France éternelle, 1919
- Bergsonisme et moralité, 1922
- La Philosophie officielle et la philosophie, 1925
- Est-ce qu’on meurt ?, 1928
- Le droit à la vie. L’Unique solution du problème social, 1934
Références
Bibliographie
- Jean-François Sirinelli, Génération intellectuelle : Khâgneux et Normaliens dans l'entre-deux-guerres, Fayard, 1988
Liens externes
- Ressources relatives à la vie publique
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- base Léonore
- « Maitron »
- Ressource relative à la recherche
:
- Thèses de doctorat ès lettres soutenues en France de 1808 à 1940
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